Samantha McCoye but call me Sam I hate Samantha

Mon monde s’écroula, je me suis mis à trembler. Je serra les poings et le releva d’un coup. Je frappa au visage le dénommer Raï. Et péta un plomb dans le camions, des soldats arrivèrent, je pris le pistolet de l’autre et leur tira dessus. Je me fit avoir à cause d’un soldat qui venait d’arriver. Il m’assomma et tomba encore dans les ténèbres. Je ressenti une violente douleur sur mon ventre, ne sachant pas ce que ses je paniquais. J’ouvris les yeux et cria, la salle était blanche et quelqu’un était entrain de m’ouvrir le ventre. Je m’évanouis mais avant j’entendis le nom : Thomas. Puis je tomba dans une sorte de coma. On me réveilla brutalement, j’ouvris les yeux et cria j’avais mal au ventre, la douleur était insupportable. Je pleurais et gémissais, j’étais étendue sur un sol de pierre et on ne m’avait même pas recousue. Tout à coups la porte s’ouvrit, je me mis en boule pour ne plus qu’on me fasse du mal et pleurnicha. Les pas s’accélérèrent et une main douce prit une de mes mains et la serra. J’ouvris avec difficulté les yeux et le vit, c’était Raï. Il avait avec lui une trousse médical et me recousue après m’avoir mis un anti-douleur. Il me sourit et me dit :

« Tu ne devrais plus avoir mal, j’aurais aimé que tu ne subisse pas cela, j’ai regardé ce qui ta fait et il n’a rien injecter a par un trucs mais qui n’est pas très fort. Tu ne devrais pas réagir, d’après tes analyses tu ne réagis pas au produit et heureusement pour toi car sinon tu souffriras encore plus. Repose toi je te ferais sortir, je ne voudrais pas qu’une si belle jeune fille avec d’aussi beaux yeux meurt alors que je pouvais faire quelque chose. Ta mèche blanche est joli tu sais ? »

Il rigola un petit peu et je repartis dans les ténèbres. Je me réveillai sur une place inconnu, J’entendis la voix de Krissy, et son cri, je ne savais pas pourquoi mais je devais avoir changé. Plusieurs bras me portèrent et m’emmenèrent au QG, je ne sais pas combien de temps je restai dans l’ombre mais j’entendais beaucoup d’aller et venue près de moi. Krissy était presque tout le temps à mon chevet, elle me parlait et me parla de Michael, mon cœur se serra. Finalement j’émergeais petit à petit des ténèbres, je tremblais et j’avais froid. Orla me prit la main et me mit une couverture, elle sourit et me dit :

« Te voila de retour… Bienvenue parmi nous, repose toi. Tu es au QG tu ne risque plus rien. Un médecin est venu et ta soigner, te connaissant tu seras remit sur pieds dans pas longtemps. »

Je me toucha la tête et senti mon crâne, je regarda Krissy effrayer et lui dit :

« Où sont mes cheveux ? Ils me les ont coupé ces connards ! »

Timidement ma meilleur amie me montra un glace et j’avais raison, mon crâne étais raser. Mes cheveux mirent du temps à repousser, autant que ma cicatrice et ma douleur à partir de ma mémoire. Ce qui intrigua tout le monde moi la 1er ses que quand ont pu voir la couleur j’avais des mèches noir et des mèches blanche, très vite mes cheveux devenir complètement blancs. Moi et Orla attaquèrent souvent des convois, un vrai massacre ! Un rebelle nous appris à faire des explosifs, alors pour notre plaisir nous faisions exploser des bâtiments militaires. Et ont taguaient sur les murs de la ville : NOUS SERONS TOUJOURS LIBRE ! VOUS NE NOUS AUREZ JAMAIS ! N’OUBLIEZ PAS LES VENDETTAS ! Ont taguaient sa en rouge sang pour que tout le monde pense que c’était du sang. Je devenais chef des Dark Knights le jour de mes 19 car s’était le souhait de Michael, tout de suite Krissy devenir mon bras droit et la sous chef. Elle avait autant de pouvoir que moi, je fis en sorte que tout le monde puisse décider et toute idées étaient retenus, la plus part son réaliser. Beaucoup de rebelles périrent dans des missions d’espionnage, mais nous faisions tout pour ne pas les laisser mourir comme cela ! Dès qu’ils étaient exécutés sur la place publique, armer de nos fusils sniper nous les libérions. Et tuèrent les bourreaux, puis des cavalier arrivèrent au grand galop et le prisonnier devait sauter sur un cheval. Moi et Krissy les évacuèrent après, certains nous acclamaient mais après ils étaient tués. Je ne parlais plus beaucoup de mon passé, parfois que disparaissais 4 jours, les 4 jours maudit : 1er jour : grave crise qui à failli me tuer, 2ème jours : Attaque des soldats, 6 ans plus tard le lendemain de l’attaque des soldats : mes grands parents tombent malades, enfin le 4ème jour : la nouvelle attaque des soldats. Pendant ses moment la j’allais sur les traces de mon village à cheval et je campais dans les ruines de ma maison. Un jour je crus voir une silhouette qui ne mettait pas inconnu, je courrai, ça y est je l’avais reconnu. C’était Misato, je courrais éperdument et elle aussi. Je tomba et la regarda partir, une voix assez grave me dit :

« C’est une propriété priver ici ! Veuillez partir immédiatement ! »

Je me retournas et le revit, s’était le général Picataya, il avait grandi et faisait un tête de plus que moi.Il n’avait pas changer et n’avait toujours pas de flamme dans ses yeux. Je me retournai, il ne pouvait pas voir mon visage car j’avais ma cape. Je dis froidement :

« Ce n’est pas une propriété priver, ce sont des ruines et il n’y a pas marqué que ce terrain appartient à l’armée ! Mais vous voulez qu’on en discute, les soldats ne savent pas parler ils passent tout de suite aux armes donc. Vous voulez qu’on parle ?
-Je n’ai pas envie de me battre, et les soldats n’utilisent pas tous la manière forte vous sav…
-Mon œil, vous n’avez aucun pitié, vous tuez tous ceux qui vous résiste. Alors tuez moi ! »

J’avais oublié mon gants et mon tatouage était visible, il dit en rigolant :

« Tu est une Dark Knights, vous et les vampires ne devraient pas vous rebellez, aidez nous et personne ne sera tuez !
-Vous croyez que je vais vous croire peut être ? Et puis quoi encore ? Vous ne racontez que des bobards ! Vous et vos hommes avaient détruit ma vie et vous voulez en plus le seule lieu que je peu aller sans que l’ont me tire des balles dessus ! Allez au diable, vous n’avez aucun droit sur cette terre ! »

Je criais ses dernière paroles et sortis mon sabre, puis je fonça sur lui. Il contre attaqua avec son sabre et d’une main me repoussa. Il rigola et dit :

« Le dictateur ne m’en à pas donné l’ordre sinon je t’aurais tuer !
-Et bien vas y ! Tue moi alors connard de soldat ! »

Je redonnai un coup bien précis et cette fois ci, il eut du mal à repousser mon attaque. Après un bon quart d’heure de combat du renfort arriva mais pour le général. J’arrêtas le combat et courra vers mon cheval, je sifflai, il arriva et je montai rapidement sur lui. Je slalomais entre les arbres puis j’entendis des bruits de motos. Ils me suivaient ces petits cons ! J’arrivai dans les rues de la ville et alla chez un rebelle. Je déposai Blast et prit sa moto et reparti, je ne voulais pas que mon cheval soit blesser. J’arrivai derrière eux, ils me cherchaient, je sortis mon arme et en tua un puis je fonçai en face en sortant mon sabre. Je failli décapiter un des deux mais il évita juste avant. Soudain ils arrêtèrent et repartirent de l’autre coter. Je vis au loin le général qui me fit un au revoir de la main et me fit signe de partir. Je partis comme il me dit.